Quand nous péchons (le mot clé est « quand ») nous nous sentons instinctivement une impulsion judiciaire que que quelqu'un doit payer un prix pour nos fautes. Au plus profond, nous ne croyons vraiment pas que quelqu'un devrait descendre « Scot-Free ». Ce qu’il faut décider, c’est qui va payer le prix pour notre transgression.
MON RÉGAL
« Je suis eaux grasses cochon. » C’est l’un des termes que j’utilise quand me battre pour être tombé dans le même piège du péché, une fois de plus. Il n’y a aucun droit d’auteur sur le membre de phrase alors n’hésitez pas à l’utiliser.
Pas cognitif, mais en substance, ce que je fais c’est me crucifiant pour le péché que j’ai engagé. Oui, ce que fit Jésus était sympa, mais je vais prendre celui-ci sur moi-même. Quelqu'un doit payer et légitimement il devrait être moi, donc je me livre à ma stupidité.
VOUS PAYEZ
« Toi, tu m’as fait péché. » Que « you » pourrait être une personne, Satan, diable, il pourrait même être Dieu. Mais de toute façon, que quelqu'un doit prendre la chute pour le péché j’ai vient de commettre et je vais repriser si elle va être moi.
AUCUN MAL, AUCUNE FAUTE
« Maintenant que vous le dites, je ne suis pas sûr que c’était vraiment un péché. » Le reconnaître ? On l’appelle justification. Et comme le mot l’indique nous décidons de faire un arrêt sur et contre notre conscience, déclarant que ce que nous faisions était effectivement bien, ou du moins pas ce mal. Pourquoi aller à l’effort ? Parce que quelqu'un doit payer pour le péché, sauf si bien sûr il n’y a pas à payer pour un péché, et c’est ce que nous sommes en tournage dans cette approche : pour éliminer l’infraction.
J’AI DÛ
« Je ne pouvais pas m’en empêcher, c’est juste ma personnalité. » Nous appellerons cette rationalisation, ce qui équivaut à celui tiré de la salle d’audience de la folie. Ce que je dis ici est, « Oui, c’était péché mais je n’avais pas la capacité morale de dire « non » » ma personnalité était telle, et les circonstances étaient telles, que je pouvais faire sans autre que ce que j’ai fait.
L’efficacité de cette stratégie se trouve dans Comment vous êtes bon à vous convaincre qu’il n’est pas vraiment votre faute. Je suis assez crédule, alors j’ai habituellement croyez-moi.
Nous sommes tous des avocats brillants mais essayez comme nous pourrions le juge, Dieu est Audient pas tout ça. Il est vrai que lorsque nous nous sentons la conviction de péché, quelqu'un doit payer la pénalité et de subir les conséquences, mais ils ont déjà – il y a 2 000 ans – si notre pleabargaining n’était jamais nécessaire. Ce qui est nécessaire est de confesser notre péché :
« Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste et va nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. » (1 Jean 1:9)
La confession est la reconnaissance et l’application personnelle de la mort du Christ sur la Croix pour nos péchés spécifiques. La confession est une expression de foi qui se traduit par notre expérience, ce que Dieu a déjà fait pour nous par le biais de la mort de son fils.
Christ est mort pour chacun de nos péchés ; la confession est le véhicule par lequel nous faisons l’expérience du nettoyage, la miséricorde et le pardon du sacrifice de Jésus.
Le mot grec pour « confession » signifie littéralement « pour dire la même chose » ou « être d’accord avec ». Cela jette une certaine lumière sur ce qui est impliqué dans la confession.
Dans la prière, nous rejoignons tout d’abord Dieu que nous avons péché (ce est en contraste avec les solutions de rechange nous regarda). Deuxièmement, nous sommes d’accord avec Dieu que la mort du Christ a payé pour ce péché spécifique. Et enfin, nous sommes d’accord avec Dieu à se détourner de ce péché et lui demander de nous faire habiliter (Ceci s’appelle repentir).
C’est donc essentiel de comprendre et donc essentielle au maintien de communion avec Dieu que je veux dire il encore une fois, pour que vous relire :
Dans la prière, nous, tout d’abord, d’accord avec Dieu que nous avons péché. Deuxièmement, nous sommes d’accord avec Dieu que la mort du Christ a payé pour ce péché spécifique. Et enfin, nous sommes d’accord avec Dieu à se détourner de ce péché et lui demander de nous faire habiliter (Ceci s’appelle repentir).
À QUELLE FRÉQUENCE DEVONS NOUS CONFESSONS NOS PÉCHÉS ?
Environ toutes les 90 secondes. C’est une blague : vous avez semblé avoir un peu trop intense sur le sujet, et j’ai senti que je devrais vous desserrez un peu. Tu avoues péché chaque fois que Dieu vous a fait prendre conscience de cela toute la journée. Il n’est également pas une mauvaise idée au peigne fin votre esprit chaque fois que vous avez la possibilité pendant un long moment de prière.
MAIS JE NE ME SENS PAS PARDONNÉ
Si il vous fait sentir mieux, c’est quelque chose avec que tout le monde se démène. Je me suis souvent demandé ce qui rend Dieu plus triste : le péché lui-même, ou ne pas recevoir le pardon qu’il a acheté pour nous. Je ne serais pas surpris si parfois il s’est avéré pour être le dernier en date : l’un est un échec moral, l’autre un manque de foi : on augmente notre besoin de la mort de Jésus, l’autre vide de son pouvoir.
Notre relation avec Dieu n’est pas effectuée par le péché. En vertu de notre nouvelle naissance, nous serons pour toujours ses enfants, et il sera toujours notre père. Mais comme dans toute relation, péché ne fasse obstacle à bourse. Si vous avez avoué votre péché, alors votre culpabilité a été pardonnée et votre communion avec Dieu a été entièrement restaurée. Pourtant pour certains péchés – ces terre-dans, taches de dur-à-get-out – vous trouverez peut-être que les sentiments de culpabilité s’attarder. Pour aider à se sentir pardonné, essayez les deux exercices suivants :
1. écrire sur un morceau de papier chaque péché que vous avez validé qui vient à l’esprit. Ensuite, écrire dans l’ensemble de la liste les mots de 1 Jean 1:9 :
« Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste et va nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. »
Dieu Merci, puis déchirer vers le haut de la liste et jetez-le — préférence où il ne peut pas être trouvé et publié sur Internet.
2. bien que nous ne pouvons pas voir Dieu, parfois d’autres peuvent modéliser son pardon pour nous. C’est pourquoi l’écriture nous dit : « Confessez vos péchés les uns aux autres afin que vous soyez guéris » (James 05:16). Qui pourriez vous connecter avec sur une base hebdomadaire pour partager vos demandes de prière de luttes et le péché ?
Les choses essentielles à retenir sur la confession sont : vous confesse le péché tout au long de la journée dès que Dieu vous a fait prendre conscience de celui-ci. Confession restaure bourse, pas votre relation (qui ne change jamais). Les trois composantes de la confession sont d’accord avec Dieu que tu as péché (ne justifient pas elle), que la mort du Christ payés pour ce péché et acceptant de se détourner de ce péché, demandant à Dieu de vous donner les moyens de le faire.
Toust droit reservé
.png)